Citronium renforce son offre Freemium
De nombreux nouveaux contenus exclusifs pour moins d'1€ par numéro.
Quand j’ai lancé Citronium il y a 3 ans, puis surtout la nouvelle version - migrée sur Substack - il y a 1 an, j’avais une idée en tête : proposer un média personnel et direct qui ne dépende pas de Google, ni des réseaux sociaux, ni des algorithmes, ni de la publicité. C’était même la baseline originelle de Citronium :
“Pas de fake news, pas de clickbait, pas de spam, pas de GAFA, pas de pub, juste un truc entre vous et moi.”
Quand on lance ce type de publication, généralement on le fait soit pour le plaisir de partager de l’info et des trucs pas trop vus ailleurs, pour travailler avec des marques, être convié à tester des trucs ou à des conférences/lancements, soit pour se donner de la visibilité et une légitimité sur ses sujets de prédilection (un peu comme quand on publie un bouquin), soit, éventuellement pour en faire un gros truc qui va générer du cash.
On peut aussi le faire pour ces trois raisons réunies : le plaisir et la passion et l’interaction avec une audience, une communauté, la visibilité (et donc attirer de potentiels clients), et en tirer une source de revenus, soit avec des sponsors, soit avec une formule d’abonnement.
Bref, quelle que soit la rétribution que l’on en tire (directe ou immatérielle), on ne bosse jamais gratuitement.
Jamais.
Le problème des newsletters est que ce support ne donne pas suffisamment de visibilité “publique”, et que par conséquent il est difficile de renforcer sa notoriété en s’appuyant exclusivement dessus. La croissance organique est rapide au début, puis se tasse, et il faut alors recourir à des moyens différents que le bouche à oreille pour continuer à faire grandir sa base d’abonnés. Bref, il faut acheter de l’audience par les canaux habituels de croissance, comme par exemple la pub ou le sponso sur les réseaux sociaux.
Dans le cas de Citronium, cela va à l’encontre de la philosophie de la newsletter : si je refuse la pub ici, je ne trouverais pas très logique d’aller faire de la pub ailleurs, même si je m’y suis un peu essayé. D’autant que je pense - mais je peux me tromper - que les lecteurs qui viennent suite à une pub ne sont pas forcément les plus fidèles, ni de ceux avec lesquels on construit une vraie audience et une vraie communauté dans le temps.
Je ne vais pas tourner autour du pot plus longtemps : depuis le début je me pose la question de la monétisation, ou en tout cas je savais que cette question viendrait un jour. Pas pour faire fortune ni pour gagner du pognon en mode automatique, de toute façon je ne sais pas faire. Non, juste pour une chose : rémunérer le temps que je consacre à Citronium, à savoir environ 20% de mon temps de travail hebdomadaire (en gros toute la journée du vendredi, plus la veille faite au fil de la semaine). Pas plus, pas moins.
Je suis arrivé à une étape où c’est le moment de faire un bilan sur ces trois années de production, et de décider si cela vaut le coup de continuer ou pas. Ma décision est la suivante : je continuerai Citronium si celui-ci me permet de me rémunérer à hauteur du travail fourni. Sinon j’arrêterai. Après avoir beaucoup donné “gratuitement” toutes formes de contenus depuis des années (et déjà bien avant Citronium), j’arrive à une étape de mon activité et de ma vie où j’estime qu’il est temps de recevoir un peu en rétribution du temps passé et de l’effort fourni. Citronium ne m’apportant pas de notoriété dont je pourrais profiter, ni de sponsors, le seul moyen de le faire est de renforcer l’offre payante.
Le calcul est simple : Citronium compte aujourd’hui 4000 abonnés, dont une petite poignée de payants (encore et toujours merci à eux). On sait par expérience et par statistique que quand une newsletter lance une offre Freemium avec une section payante, en moyenne entre 5 et 10% des abonnés souscrivent à cette offre (après cela dépend de plusieurs facteurs, mais c’est l’idée). Dans le cas de Citronium, si l’on suppose que 7,5% des abonnés gratuits passent au payant, cela ferait 300 abonnés payants dans le meilleur des cas. J’en suis loin, mais c’est normal, car l’offre payante est insuffisamment attractive, et surtout, ne se différencie pas assez de l’offre gratuite, qui suffit amplement au bonheur de la grande majorité d’entre vous. Mais 300 abonnés payants suffiraient amplement à mon bonheur, et correspondraient à peu près au temps passé, même si 400 seraient parfaits pour vraiment rentrer dans mes frais.
J’ai donc longuement observé ce qui se fait dans le secteur, notamment dans le monde de la newsletter unipersonnelle anglo-saxonne, ce qui m’a aidé à bâtir ma nouvelle offre Freemium. Oui, je sais, ce qui fonctionne chez les ricains ne fonctionne pas forcément ici, et ce serait une erreur d’appliquer à la lettre les mêmes recettes. Mais bon, on peut toujours s’inspirer des bonnes pratiques, en étant conscient que les chiffres ne seront pas du tout les mêmes, et appliquer ses propres idées, comme celles que vous allez découvrir maintenant.
Voici donc ce que va contenir la nouvelle offre de Citronium.
NB : tout est encore gratuit aujourd’hui et ce week-end afin que vous puissiez vous faire une idée. Les options payantes seront activées dimanche soir :)
Version gratuite de Citronium
Le newsletter reste la même que celle que vous connaissez aujourd’hui, pas de changement. Mon crédo a toujours été de ne pas supprimer de contenus aux abonnés gratuits mais plutôt d’en proposer en plus aux abonnés payants. Je verrai selon l’évolution si je change cela dans les prochains mois (genre passage de hebdomadaire à mensuel).
Version payante de Citronium
Cette version comprend :
La newsletter hebdomadaire telle que vous la connaissez
8 dossiers hors série sur l’année (voir thématiques et calendrier plus bas - cela peut changer en fonction de l’actualité, et ces deux exemples des précédents hors série ici et là)
L’accès à moitié prix à toutes mes formations et webinaires (6 nouvelles seront publiées en 2022, voir la liste ici (peut évoluer)
La liste de tous les outils, logiciels, apps et matériels que j’utilise, plus de nombreux autres, actualisée régulièrement, dont un extrait sera diffusé dans chaque numéro
La liste de toutes mes sources, actualisée régulièrement, dont un extrait sera diffusé dans chaque numéro
La version audio de Citronium en podcast tous les vendredi avec la newsletter
Une curation des meilleurs “bons plans” du moment pour acheter de la Tech au meilleur prix
L’accès au Groupe Facebook Club Citronium (sera peut-être changé au profit d’une autre plateforme, Slack ou autre)
Le tout pour la modique somme de 50 euros par an, ou 5 euros par mois pour celles et ceux qui préfèrent ne pas s’engager sur un an (et perdre 10 euros haha). Rien qu’avec l’accès à mes formations et webinaires, votre abonnement est remboursé plusieurs fois. Peut-être que pour le moment rien ne vous convient dans le très succinct catalogue actuel mais dites-vous que d’ici peu, sur une dizaine de formations il serait étonnant que vous n’en trouviez pas une qui vous intéresse, et là, BIM, abonnement rentabilisé.
Pas (trop) mal non ?
Il y a aussi une autre option “Super Premium” nommée par Substack “Founding Member” : pour 149 euros par an, vous accédez à tous les services ci-dessus avec en plus un contact direct avec moi via chat vidéo sur la plateforme de votre choix pour une session d’une heure. Je l’ai activée puisque Substack la propose par défaut mais je n’ai aucune idée de la pertinence de ce truc.
Les dossiers hors série
Les thématiques des hors série vont tourner autour de ça. Je ne fais pas une liste précise et exhaustive car cela pourra évoluer en fonction de l’actualité, et parce qu’il faut bien garder un peu de surprise, mais en gros ça va partir sur des sujets comme les dernières technologies et services autour de l'audio, les usages pro du smartphone pour l’image, l’impact de l’électromobilité sur le paysage, la voiture volante (oui oui, plein de trucs à dire, c’est passionnant), la réalité augmentée dans l’automobile, l’innovation dans les médias…
Le calendrier des hors série 2022 :
28 janvier
18 mars
29 avril
17 juin
22 juillet
16 septembre
28 octobre
16 décembre
Newsletter As A Service
Mine de rien, je viens peut-être de conceptualiser un truc nouveau, ou en tout cas de lui trouver un nom : la NAAS, Newsletter AS A Service. Je n’invente rien, puisque la plupart des newsletters payantes à succès apportent un vrai service, ou des contenus ressentis comme tels. C’est sur ce principe que j’ai fondé cette nouvelle offre.
Quels sont les services que Citronium payant (et même gratuit) apportent ? Ils sont plusieurs :
La veille - Bénéfice : gain de temps
La curation - Bénéfice : gain de temps
L’éditorialisation - Bénéfice : un angle et une info traduite et rendue lisible et simple à comprendre, cohérente à partir de plusieurs sources
Le point de vue, la mise en perspective - Bénéfice : “humaniser” un sujet, aider à l’appréhender, donner des clés
De l’info sans pub, sans algos, sans traçage, sans biais ni pression d’annonceur ou d’audience…
Sans compter mes vannes pourries (ben quoi, c’est un service non ?)
Et bien sûr - et surtout - évidemment les services supplémentaires à valeur ajoutée proposés dans l’offre payante. Un bon plan bien choisi (donc veille et curation) ou la découverte d’un outil professionnel peut aussi à lui seul vous faire gagner beaucoup plus que les 50 euros dépensés dans l’abonnement.
Je reste convaincu que la curation et la veille ont beaucoup de valeur (la preuve, certains clients m’achètent régulièrement ce type de prestation), une valeur qui est largement sous-estimée chez nous, alors qu’elle se vend très bien dans les newsletters anglo-saxonnes. Franchement, pour avoir épluché nombre d’entre elles, dont certaines avec des milliers d’abonnés payants[1], je peux vous dire que Citronium n’a absolument rien à leur envier en termes de contenus. Autres continents, autres mœurs…
Et puis il reste le dernier truc, qui peut être aussi le plus important dans le cas d’une newsletter personnelle, comme vu dans mon édito du précédent Citronium : la simple (mais noble) volonté de soutien des abonnés à l’auteur, qui peut dans certains cas se traduire par sortir sa carte bleue pour aider à pérenniser et faire grandir la publication.
Un objectif et un engagement
Je terminerai avec un objectif et un engagement : comme je l’ai indiqué plus haut, je vise donc 300 abonnés payants. Avec le lancement de cette formule, je verrai très vite si ce objectif peut être tenu, et je me donne jusqu’à fin janvier pour l’atteindre.
Que se passera-t-il s’il n’est pas atteint ? Soit nous en sommes proches et sur une bonne dynamique (au moins 200/250 abonnés payants) et je me donne quelques semaines supplémentaires, soit nous en sommes loin et dans ce cas ce sera le terminus pour Citronium. Je rembourserai alors tous les abonnés payants annuels au pro-rata de leur date d’abonnement et je tournerai la page. Sans regret ni amertume.
Et, au fait, que se passerait-il si à ma grande surprise la dynamique allait bien au-delà des 300 abonnés ? Il se passerait un truc génial : plus Citronium aurait d’abonnés payants et plus j’y consacrerais de temps, ce qui veut dire encore plus de contenus à valeur ajoutée, des dossiers, de la data, des interviews... Jusqu’à basculer à plein temps, à partir de, disons, 1200 abonnés payants. C’est jouable ? Peut-être, je n’en sais rien, mais on va essayer.
Voilà, vous savez tout. Je mets tout mon cœur (et une partie de mon modeste cerveau) dans ce changement. La balle est désormais dans votre camp. Il ne tient plus qu’à vous de faire mentir cette règle qui dit qu’en France personne ne veut payer pour des contenus, hors “grand média” ou rédactions spécialisées.
[1] les 10 plus gros auteurs sur Substack se sont partagés… 20 millions de dollars de revenus en 2021. Oui oui, en moyenne 2 millions de dollars annuels avec une newsletter…
🔥 Au fait ! Si ce numéro t’a plu, n’hésite pas à cliquer sur le petit cœur qui se trouve tout en haut sous le titre à côté de ma photo ou tout en bas à la fin. N’hésite pas à partager aussi en cliquant sur la flèche à droite, ça m’aidera à faire connaitre Citronium. Merci !
Gimme five (ou plus si affinités)
🌐 Selon un récent rapport d’une agence de l’ONU pour les technologies de l'information et de la communication, plus d’un terrien sur trois n’aurait encore jamais utilisé internet, soit 2,9 milliards de personnes, résidant essentiellement dans des pays en voie de développement. Et ce, malgré le fait que la pandémie ait entraîné une poussée de connectivité dans laquelle le nombre de personnes ayant accédé à Internet a atteint environ 4,9 milliards cette année, soit une hausse de 17 % par rapport à 2019. Je ne sais pas exactement comment a été menée cette étude mais j’ai un peu de mal à y croire.
📺 La plateforme française de “curation/streaming” Salto vient de se tirer une belle balle dans le pied en introduisant de la publicité dans les replays des programmes du groupe TF1. Rappelons que Salto est payant sur abonnement, et que l’absence de pub faisait de la promesse éditoriale d’origine. Un tel retournement risque de déplaire fortement aux abonnés, puisque généralement les chaines payantes n’affichent pas de pub (mais pas toutes).
🐦 Jack Dorsey, le charismatique et énigmatique Directeur Général de Twitter (et co-fondateur) quitte la société. Il pense que celle-ci est désormais “prête à couper le cordon avec ses fondateurs". Dorsey est remplacé par un inconnu au bataillon, Parag Agrawal, 37 ans, ingénieur informatique spécialiste de l'intelligence artificielle, employé chez Twitter depuis 2011, chez qui il a gravi tous les échelons.
🧼 Ça sent pas bon : la marque de cosmétiques bio et naturels Lush, connue pour son réseau de plus de mille boutiques très odorantes à travers le monde, vient de fermer ses comptes Facebook, Instagram, Tiktok et Snapchat dans les 48 pays où elle est présente. Cette décision radicale a été prise pour “protéger la santé mentale de ses clients”, parmi lesquels une forte proportion d’adolescentes. Lush reste cependant présent sur Twitter et YouTube.
📱 Après l’heure c’est plus l’heure ! La plateforme Zoom, leader de la visioconférence, introduit une nouvelle fonctionnalité “Pas encore rejoint” qui permet à l’hôte d’une réunion de voir en un coup d’œil qui est là et qui ne l’est pas, et donc potentiellement en retard.
📹 YouTube n’en finit pas de grandir. La plateforme vidéo de Google compte désormais plus de 450 chaînes de plus d'un million d'abonnés en France, contre 360 en 2020. Parmi les plus vues en 2021, sans surprise, celles de McFly & Carlito, Squeezie ou Michou (non pas celui de Montmartre, paix à son âme).
Le panier de la semaine
(suite à plusieurs demandes, je mets désormais les liens des sources en clair en non plus dans le texte, comme ça tu sais où tu vas et si ça vaut le coup de cliquer)
Les motards aussi ont besoin d’aides à la conduite. Nombre d’entre eux installent un GPS spécial moto (durci et étanche) sur leur guidon, ou utilisent leur smartphone dans un support-coque spécial. Sinon il y a la solution qui consiste à projeter des données directement sur la visière du casque dans l’esprit affichage tête haute de l’aviation ou de l’automobile. Eyelights est une entreprise française qui propose EyeRide, un dispositif compatible avec tous types de casque et lunettes et qui permet l’affichage GPS, Intercom et musique dans le champ de vision, le tout piloté par contrôle vocal.
À l’occasion de la journée internationale des personnes handicapées, Amazon lance le portail Accessibilité Alexa. Il s’agit en fait d’un site internet regroupant toutes les informations sur les fonctionnalités d’accessibilité d’Alexa qui peuvent aider au quotidien, comme la commande vocale, VoiceView, la loupe, les sous-titres, les Routines ou encore les Raccourcis Alexa.
Piloter n’importe quel climatiseur avec son smartphone, c’est ce que propose Sensibo. Il s’agit d’un petit boîtier de la taille d’une souris de PC qui rend l’unité d’air conditionné connectée en prenant le contrôle sur les signaux infrarouges de la télécommande de celle-ci. Une fois l’engin reconnu et connecté, on peut alors le commander à partir de son téléphone via l’application dédiée, allumer et éteindre, régler la température, régler l'intensité du soufflage, ainsi que l'inclinaison des volets du climatiseur. Le tout peut être programmé, et bien sûr tout cela est disponible à distance via le WiFi de la maison, et c’est même compatible avec Alexa et ses commandes vocales.
La société française YouLoveWords, spécialisée dans le Content Marketing et la performance éditoriale, vient d’ouvrir un lieu dédié à cette activité, Hollywords. C’est une première et une vraie innovation dans ce secteur parfois un peu difficile à délimiter et à définir, et dont le potentiel est pourtant infini. Ce lieu unique proposera des expériences innovantes autour d’événements créatifs et de workshops, des formations au Content Marketing, et un partage avec tous ceux qui souhaitent bâtir le futur du Content Marketing. Étant moi-même fortement impliqué puisque le contenu et l’éditorial constituent l’essentiel de mon activité de conseil, je valide. A découvrir au 280 Boulevard Voltaire 75011 Paris.
Conduire une voiture électrique devient un art de vivre à parte entière, avec ses codes, et un côté zen unique (malgré la surpuissance de certains modèles). Pour compléter ce tableau pépouze, il ne manquait plus que des bonnes playlists dédiées. C’est ce que propose Volkswagen Canada, qui a récemment lancé sa propre version de Spotify Wrapped, baptisée #ElectricWrapped, une liste de lecture qui souligne son engagement envers un avenir électrique. Bon je te préviens, il y a quand même High Voltage d'AC/DC dedans, donc pas toujours tranquille tranquille.
Ça innove fort aussi dans le petit monde de la course automobile. Ainsi la Formule E (équivalent électrique de la F1) dévoile sa troisième génération de monoplaces, qui seront les plus efficientes du secteur, autrement dit celles qui ont le meilleur ratio puissance/énergie consommée. L’une des clés de cette sobriété se situe dans le freinage régénératif, puisque les constructeurs annoncent qu’au moins 40% de l’énergie utilisée pendant une course sera produite par le freinage. Des technologies de pointe qui se retrouveront ensuite sur les voitures électriques des particuliers. Rappelons que ces Formule E auront une puissance presque équivalente aux F1 thermiques, soit plus de 800 chevaux zéro émission.
https://www.fiaformulae.com/en/news/2021/november/gen3-introduction
Le gadget anti-stress du jour. Cove est un dispositif portable à porter comme une sorte de collier qui vise à réduire la sensation de stress en utilisant des vibrations douces pour imiter la sensation du toucher humain, qui réduirait le stress. En outre, il faciliterait l’endormissement et un sommeil plus profond. L'application suit les données de l'utilisateur grâce à des capteurs de pointe. Pour des résultats optimaux, il est recommandé d'utiliser Cove deux fois par jour pendant des séances de 20 minutes. A 490 dollars, le truc me parait en revanche hors de prix. Au nom de la santé, certains fabricants forcent un peu.
Conserver plus longtemps ses fruits et légumes frais sans avoir recours à des produits chimiques, c’est ce que propose Ryp Labs, une startup américaine qui développe et commercialise des technologies pour lutter contre le gaspillage alimentaire de manière naturelle. Avec notamment cet étonnant petit sticker StixFresh à apposer sur la peau de tes fruits préférés. L’autocollant utilise une formulation sûre, entièrement naturelle, en attente de brevet, et prétend permettre de conserver le fruit pendant quatorze jours supplémentaires.
La minute durable
Les glaçons qui ne fondent pas
Ils ressemblent à des glaçons, ils sont transparents comme des glaçons, mais ce ne sont pas de vrais glaçons. Pourtant ils pourraient bien les remplacer avec une efficacité identique. Ces “cubes de glace” sont constitués de 90% d’eau et d’un composant à base de gelée, qui leur donne une texture de gélatine de dessert. Mis au point par des chercheurs de l’Université de Californie Davis, ils ne contiennent pas de plastique, sont compostables et réutilisables.
https://www.ucdavis.edu/food/news/uc-davis-researchers-develop-ice-cube-doesnt-melt-or-grow-mold
Le savais-tu ?
Les oreillettes à son spatial
C’est peut-être l’un des trucs les plus méconnus dans la tech, et pourtant c’est bluffant. Si tu as par exemple des AirPods Pro, active le sons Spatial dans les réglages, et regarde par exemple une émission ou un film compatible (il suffit qu’il soit en stéréo). Mets-toi face à l’écran du téléphone, puis tourne la tête à droite et à gauche. Tu vas alors entendre que le son ne bouge pas, et que sa source s’adapte à tes mouvements, comme si tu étais dans la scène. Si tu tournes la tête à gauche, la source arrivera plus fort dans ton oreille droite, et vice-versa.
Pour cela, outre l’enregistrement en stéréo (panoramique gauche droite) ou en spatial (son 3D), le dispositif utilise un accéléromètre dans les écouteurs (bo,jour la miniaturisation) qui permet de distribuer le son de façon naturelle en fonction des mouvements de la tête par rapport au téléphone.
🔥 Les outils, sources et bons plans [Premium]
(cette section réservée aux abonnés Premium)